Mange, prien aime (Elizabeth Gilbert)

A trente et un ans, Elizabeth Gilbert possède tout ce dont une Américaine ambitieuse peut rêver : un mari dévoué, une belle maison, une carrière prometteuse.
Elle devrait nager dans le bonheur, pourtant elle est rongée par l'angoisse, le doute, l'insatisfaction... S'ensuivent un divorce, une dépression et une liaison désastreuse qui la laissent exsangue et encore plus désemparée. Elle décide de tout plaquer pour partir seule à travers le monde. À elle de se construire la vie qu'elle s'est choisie ! En Italie, elle goûte aux délices de la dolce vita et prend les "douze kilos les plus heureux de sa vie", en Inde, ashram et rigueur ascétique l'aident à discipliner son esprit (lever à 4 heures du matin, méditation et nettoyage des sols !) et en Indonésie, elle cherche à réconcilier son corps et son âme pour trouver l'équilibre qu'on appelle le bonheur...

J'ai été très déçue par ce livre. Peut-être parce qu'il n'était pas à la hauteur de ce que j'espérais. Je m'attendais à un livre magique, ou l'on a l'impression de voyager juste en le lisant, un livre de voyages, en fait ! Mais les premiers chapitres, la narratrice les passe, la tête collée au sol de sa salle de bains, à se demander si elle va continuer de sortir avec le "trop craquant!" Giovanni, ou si elle va rester fidèle à son mari.
On se croirait dans un roman pour ado, du style "toi + moi = ♥"
Je n'ai donc pas tenu jusqu'au bout, car j'estimais que ce roman ne tenais pas ses promesses. Dommage.